Weeksy proved worldwide that Boomerang is from Australia. He spread ancestral energy to all the crew. Titou, Bruno, Cyril and Batman followed him and jumped the boomerang. BMX is definetly a team sport. Thank you Weeksy.
Photos : Tok, Max, Godfather & Vincent G.
Quoi de plus normal pour un australien que de faire du boomerang?
Comme Tarzan dans la jungle, le jeune Weeksy est recueilli à sa naissance par les aborigènes du Bush profond. L'enfant reposait au fond d'un casque allemand. Un casque qui lui sert de berceau. Sur le coté, est gravé: « sick cunt », personne ne sait pourquoi. A force de courrir tout nu aprés des kangourous pour se nourrir, le jeune Weeksy devient de plus en plus grand et de plus en plus fort. À l'adolescence, ses frères aborigènes lui enseignent le secret du maniement du boomerang (un objet qu'ils viennent d'inventer). Avec le temps, le casque qui lui servait de berceau devient à sa taille. Ses frères lui enseignent ensuite le secret du maniement de la roue (inventée 2 ans aprés le boomerang). Dans son village, il creuse le Snake Wood pour pratiquer un nouveau sport de roue: le BMX. Le Snake Wood est réputé un endroit dangereux.
Peu à peu, Weeksy ne se déplace plus qu'avec son casque et son vélo bmx. Il parcourt l' Europe. A la jam de la Source, il entend parler d'une bosse- boomerang.
Un boomerang pour vélo ? Les aborigènes sont dégoûtés, ils n'y avaient jamais pensé. Trop tard, c'est maintenant dans le bush landais que ça se passe. Et Weeksy le sait. Il vient une première fois à la jam de Banos pour observer la fameuse bosse-boomerang. Une bosse qui te renvoie d'où tu viens "aussie" vite que t'es arrivé ! Foerske, premier homme sur terre à avoir décollé et ratterrit du boomerang, le sait.
Désormais, Weeksy n'a plus qu'une obsession: sauter la bosse pour laver l'affront fait à ses ancêtres.
De retour dans son Bush natal, il s’entraîne auprès des plus grands maîtres de la brousse. Pendant 2 longues années, il implore le dieu Terre jour et nuit. A force de persévérance et de courage, il finit par être prêt. Le 14 septembre 2019 sera le jour sacré. "A la jam de Banos" lui souffle le vent sous le casque.
Arrivé sur place, comme avec les kangourous de sa jeunesse, il commence par apprivoiser la bête : arrose la terre, répart les fissures, lisse la récep. Tout est prés. Alors Weeksy s'élance. Efficacement, à coup de 50cm, il ajuste son tir avec précision. En 4 sauts, il roule de l'autre coté à pleine vitesse. Weeksy, l'enfant sauvage du Bush, vient de sauter la bosse-boomerang. Après des siècles d’oppression, ses ancêtres aborigènes sont enfin vengés.
Soudain, le ciel s’assombrit , le tonnerre gronde sèchement, d'un coup, la foudre frappe:" CRAAAAAAAAAAAAAAC ! " Tous ceux qui étaient à coté sont touchés : Titou, Bruno, Cyril et Batman, quittent leurs corps. En lévitation, hypnotisés par l'énergie de l'Australie ancestrale, ils sautent l'un après l'autre dans le vide du Boomerang.... pour réapparaître de l'autre coté, à peu prés entier.
Cette histoire de bosse-boomerang, d'innocents frappés par la foudre et de Weeksy possédé est une vieille légende aborigène. On l'on raconte aux enfants pour leur faire peur.
Un jour, un sage à dit : « L'important, c'est pas la chute, c'est le décollage » .
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